1ere semaine en NZ - Wellington :
Wellington city, capitale de la Nouvelle Zélande, est une ville bien dynamique.
Après trois avions, une douzaine d’heures de vols et un repas arrosé chez Peter à Perth (la technique du vin rouge pour dormir dans l’avion marche parfaitement… les quatre premières heures !) nous arrivons à Wellington.
Dès l’aéroport, nous sommes mis dans l’ambiance, drapeau partout et petit spectacle de danse Maori.
La ville est bien animée, les gens courent, roulent en vélo ou roller, skatent de partout, de plus deux zones sont crées pour la coupe du monde de rugby avec écran géant, spectacle… On ne va pas s’ennuyé pendant ces prochains jours.
D’ailleurs pendant ces prochaines nuits, pour une immersion totale, nous allons dormir chez l’habitant grâce au site « couchsurfing ». Notre première hôte est une étudiante d’une vingtaine d’année qui partage sa maison avec trois autres colocataires. On ne peut pas dire que ce c’est mal passé puisqu’on ne l’a quasiment pas vu.
Le premier soir, nous nous sommes directement rendu chez elle et elle n’était pas la mais qu’importe, sa colocatrice s’est occupée de nous. Lorsqu’elle est rentrée, nous étions tant fatigués par le décalage horaire et notre trajet qu’au bout de cinq minutes on s’est écroulé dans le canapé. Le second soir elle nous propose de manger à un restaurant végétarien, ok. Nous y retrouvons plus tard tous ses potes mais pas elle, elle est malade. Bref, ça nous gène pas plus que ça, on a eu un endroit pour dormir, des douches, cool.
Notre deuxième famille d’accueil se situera un peu plus à l’extérieur de la ville chez Edith et Richard et leurs deux enfants, et un de leur ami qui squatte la, dave. Famille de voyageur, apparemment Richard est kiwi, Edith Hongroise de ce faite les deux gosses parlent Hongrois et Anglais sans problème et il apprenne le Français et le Chinois en ce moment à 7 et 10 ans. Toute cette petite famille a déjà bien voyagé. C’est un peu le joyeux bordel à la maison et il fait froid la nuit mais l’accueil est au rendez-vous. Nous irons à la plage avec eux, histoire d’une balade et d’escaladé un caillou et on aura bu le café dans leur superbe cabane dans l’arbre derrière la maison.
Sinon qu’est ce qu’elle dit la ville, après quelques renseignements au bureau du tourisme, à l’ambassade et à l’alliance Française, notre programme est établi.
Et voila, le cable car, le jardin botanic, le parlement sont dans notre ligne de mir. Sans oublier le fameux musée Te Papa qui est un grand musée.
Nous prendrons le temps de nous engager dans une randonnée de folie pour voir la ville de haut.
Tout cela pour arriver au jour tant attendu du match France-Tonga. Une journée course poursuite après le temps pour trouver nos déguisements, nos rations et aller au stade.
Un pack de bière, une bouteille de pinard, des habits verts et du maquillage… direction le stade. Petit moment de stress au moment de retirer les billets tout est ok, on a une heure pour se préparer devant l’entrée du stade.
Petit medeley, la danse est un peu longue, mais il y a une suite :
Malheureusement en NZ, l’alcool dans la rue est complètement prohibé et après une bière, un agent de la sécurité nous subtilise nos boissons. Notre stand semblait pourtant bien sympa car pas mal de monde est venu nous demander pour les maquiller. Il est l’heure, nous voici prêt à représenter nos couleurs. 2 heures plus tard, vous connaissez le résultat bon…
Tanpis, allons boire un coup dans la ville en l’honneur de notre défaite. D’ailleurs nous réussissons à retrouver nos boissons, ça commence bien. L’hôte d’Adeline nous propose de boire un coup chez lui avant de sortir, ça nous va. Arrivé là-bas, il était peinard entrain de regarder un film indien, ok voyons la suite. Après une petite heure à boire du vin coincé dans le canapé, le voila qui ce décide. Un petit remontant pour la route et nous voila p!arti en ville. Et la, Et la… et la, le mec tranquille dans son canapé nous a emmenés dans une dizaine de club de la ville à toujours rentrer sans faire la queue style VIP. Bref grosse nuit, il a bien assuré le Raj.
Le lendemain c’est le ferry, direction l’île du sud, une autre aventure.
J'ai failli oublier la tendance Elise Wellington 2011.
